• Ouh ca a l air bien moisi, mais ca va etre du bonheur, ce documentaire sur les Stones par Scor-zizi en avril 2008. Vous avez bien reconnu Jack White et...Xina Aguilera.

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  • Histoire de montrer à la famille en visite un peu de nuit berlinoise, et quitte à reparler encore ici de mes petits chouchoux du moment, nous voila partis pour le concert de Ratatat, duo new yorkais avec le vent en poupe, dans le Kreuzberg qui monte, celui de Schlesisches Tor. Salle bien remplie pour un lundi soir, foule toujours aussi sympathique de ce club très cool (l équipe du 103 n en est pas à sa première réussite) et toujours prêt pour une programmation de curiosités. Mais si les fans de rock croyaient s encoquiner à un concert de Hip Hop, ils ont tout de suite été rappelés à l ordre par les DJettes en première partie: Blur, Rakes, BRMC, nous sommes bien à un concert indie rock. Il faut dire que Ratatat brouille les pistes. Repérés dans un premier temps pour une très très dansante compilation de titres hip hop américains re travaillés à leur sauce Krautrock guitares 70s, les deux garcons propres sur eux ont depuis prouvé avec l album CLASSICS que l instrumental n est pas un art mineur, et ont décroché des places honorables dans les classements 2006. Pour les curieux, il parait qu il y a des bouts de la prestation berlinoise qui trainent sur Youtube. Et la vraie joie de cette fin mars, c est que depuis le concert le net confirme une seconde compile de remixes hiphop, les premiers titres ont même commencé à filtrer. C est l occasion de vous renvoyer désormais vers le naissant petit frère du blog diebertranden, le podcast diebertranden, surlequel se retrouveront désormais les trouvailles sonores des envoyés spéciaux de Berlin. Bonne écoute! Et en plus avec une simple inscription, les morceaux arriveront ensuite directement dans votre Itunes. http://diebertranden.podomatic.com/

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  • Cette fois il était hors de question de rater ca. Donc quitte à faire le samedi soir le moins glamour de tout l arc en ciel pop rock, Madame diebertranden a été priée de me suivre à l église de notre ancien Kiez de Kreuzberg pour aller voir le Dieu vivant de la folk, Will Oldham alias Bonnie Prince Billy. Dans son plus simple appareil (encore qu on l a connu plus dénudé dans ses concert d été où le texan risque parfois le short d athlétisme échancré et le marcel), guitare solo, ce grand homme nous a emmenés loin très loin avec ses chansons habitées, avec une voix toujours plus fragile et des réinteprétations illuminées de ses plus beaux titres. Le petit malin avait pris la précaution de mettre en premiere partie un demi Dieu de la guitare, Bishop machin chose, qui nous a scrupuleusement saoulé de toute sa technicité blues folk psyché. De quoi accueillir avec enthousiasme le beau Will. La suite, j aurais pu la commander : meilleurs morceaux de Letting Go (Love comes to me, Cursed Sleep sont dans les plus belles compos, je maintiens), puis enfilage de plus vieilles perles (You send your love to me, Master and Evereyone) et bien sur I see a Darkness. Vieux fans de Dylan et de Cash, pointus défenseurs de Coco Rosie et Banhart ou du José Bové Gonzales, il est temps de vous rendre à l évidence. God Will is the answer.

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  • Il y a évidemment une dose de provocation à mettre une compilation en premier rang dans les albums de l année, surtout quand celle ci renferme des remixes et non des compositions, et que ces remixes remontent jusqu à 2001. Maintenant voilà, il faut se plier à l évidence et rendre hommage a James Murphy pour tout ce qu il apporte à la pop du nouveau siécle. Si un bilan de l année fait le bilan de ce qui marque, fait avancer, réinvente, habite, réjouit, alors ce seront les remixes de DFA.

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  • Virage du deuxième album impeccablement maitrisé pour les new yorkais. Une avalanche de tubes bien formatés, et suffisament variés pour être longs en bouche, un groove irrésistible, le tube de l été, et aucun peur à prendre de l ampleur. De quoi facher les rockers puristes, et réjouir les défricheurs.

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